Le client, Sylvain LAGARRIGUE (Agritech Elevage) et Eric MANENC (SKIOLD) devant la FAF SKIOLD | Aveyron

FAF bovins "on a gagné jusqu'à 3 semaines pour les veaux"

GAEC Costes Prion, Aveyron (12)

Vous élevez plusieurs productions animales et envisagez d'investir dans une fabrique d'aliments ? Découvrez le témoignage de Justin, éleveur de brebis et de bovins pour la filière Veau d’Aveyron et du Ségala. En 2016, Justin a fait le choix de fabriquer son propre aliment pour nourrir ses animaux.



 


Pourquoi votre propre fabrique d’aliments ?


"Au début, je ne savais même pas que ça existait de fabriquer son aliment. Avant la fabrique d’aliments, nous avions 2 silos pour stocker la récolte avec un aplatisseur. Il avait plus de 40 ans, il fallait le renouveler. Au départ, je pensais juste aplatir mon grain.


J’avais appelé plusieurs prestataires, dont Agritech Elevage que j'ai connu par le bouche à oreille, et chacun m’avait fait son projet. Sylvain Lagarrigue est venu et m’a fait cette proposition avec un croquis de ce qu’on pouvait faire. Puis, il m’a laissé avec son plan pendant 1 mois. Je n’étais pas prêt pas à faire une fabrique puis j’ai réfléchi et l’idée à continuer à faire son chemin. Il a eu la bonne idée et on comprend vite l’intérêt. Nous sommes allés en visiter une ou deux et puis on a foncé. Ça m’a vraiment attiré de savoir que je donne à mes animaux, de maitriser cela et d’adapter à chaque tranche d’animaux (veaux, génisses, vaches, etc.). Enfin, je me suis rendu compte que SA4R communiquait autour de la fabrique d'aliment. Ce qui était intéressant, c'était l’aspect financier mais aussi l’aspect pénibilité avec l'automatisation. Donc on a sauté le pas !".


"C’est aussi notre travail de faire découvrir aux éleveurs ce qu’il est possible de faire. On leur montre et après, ils choisissent." réagit Sylvain Lagarrigue, technico-commercial pour Agri Tech Elevage. Il ajoute qu'il faut considérer certains éléments avant de se lancer dans ce type de projet : 



  • l'aspect "Nutrition" - l’éleveur doit se mettre en la tête qu’il fera un peu de nutrition.

  • l'aspect "Investissement" - il faut étudier le tonnage à l'année à réaliser et calculer le retour sur investissement (généralement une économie observée de 50€/T à 100€/T sur un groupe d'éleveurs fafeurs en bovins).


 


Combien de temps a nécessité le projet ?


Pour l’étude du projet, il a fallu 6 mois jusqu’à la prise de commande de la solution qui comprenait : 



  • la manutention,

  • le stockage,

  • un cœur de fabrique composé d'un broyeur à disque Disc Mill et une mélangeuse verticale 1200L

  • la trémie minérale qui peut réaliser du microdosage (ex : poudre) quelque soit le produit intégré

  • le transfert pneumatique

  • l'automatisation - SKIOLD Fabristar S


Pour ce qui concerne le montage de l'installation et réaliser des économies, "souvent, ce sont les éleveurs qui montent eux-mêmes les cellules et les vis. Ainsi, ils économisent quasiment du simple au double. En soit, ce n’est pas compliqué mais ça prend du temps" commente Sylvain Lagarrigue. 


 


Les bénéfices de la fabrique d’aliments


"Pour les veaux, on a gagné entre 2 et 3 semaines sur l’engraissement. Dans le cahier des charges du label, il faut s’arrêter à un certain poids à carcasse. Parfois, à moins de 6 mois, ils atteignent le poids. Avant, au-delà de 10 mois, ils ne faisaient pas toujours le poids. Là, je n’ai plus ce souci. On voit même la différence au niveau du poil. Et pour les mères aussi. On les alimente mieux donc elles font plus de lait. On le voit à l’état général de l’animal : la laine pour les brebis, les ballonnements, la vivacité, le fait que les veaux tètent tout seul, etc."


"Ces résultats, nous les retrouvons régulièrement chez les éleveurs qui ont fait le choix de la FAF.", Eric Manenc, Directeur National des Ventes chez SKIOLD.


 


Avantages de l'installation  



  • Automatisation: On ne fait que programmer. On lance les cycles quand on veut. 

  • Flexibilité : On joue avec l’écartement des disques en fonction des animaux, des formules, des matières premières et de leur taux d’humidité d’une année sur l’autre. Par exemple :





    • On ouvre plus pour le maïs, que pour le blé.

    • On fait des méteils et les brebis n’aiment pas quand le pois est entier. Alors, on ne fait que toucher le pois.




Eric Manenc souligne que "avec le broyeur à disques, on peut broyer plus ou moins fin. On obtient une granulométrie régulière avec un taux de fine qui est réduite contrairement à de l’aplati et l'aliment est mieux exploité par le rumen. On optimise l'efficience alimentaire."



  • Facilité d’utilisation: C’est intuitif. Au début, on a fait 3 erreurs dans l’automate. Chez Agri Tech Elevage, ils m’ont expliqué comment faire. Aujourd’hui, ça fait plus de 2 ans que je ne les ai pas appelés. Maintenant, on sait d’où elles viennent.

  • Evolutive



 


Conseils pour des éleveurs qui souhaitent évoluer en FAF 


"Je n’ai jamais regretté les options alors je dirais :



  • Ajoutez des sorties sur les vis pour vidanger en fin de campagne pour ne pas mettre la nouvelle récolte sur l’ancienne et nettoyer les cellules.

  • Ajoutez une trémie minérale si on a plusieurs cycles." Ainsi, les cycles s'enchainent sans qu’il y ait besoin d'aller ajouter le minéral.


Nous tenons à remercier Justin pour son retour d'expérience très enrichissant ! 


 


Informations sur l'exploitation :



 


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